L'industrie 4.0
Le concept d’industrie 4.0 ou industrie du futur correspond à une nouvelle façon d’organiser les moyens de production. Cette nouvelle industrie s'affirme comme la convergence du monde virtuel, de la conception numérique, de la gestion avec les produits et objets du monde réel.
le projet démarre, les idées de mise en œuvre sont fixées avec beaucoup d'enthousiasme. Tout de même on enregistre des doutes sur la solution, surtout au sein de la grande inconnue "Industrie 4.0". Mais ce n'est pas décourageant ! Parce que chaque membre du projet, qu'il soit optimiste ou pessimiste, peut contribuer au projet.
Une vaste expérience menée par Martin Seligman1 a permis de déterminer si les optimistes ou les pessimistes ont une meilleure appréciation de la réalité. Le résultat démontre que les pessimistes voient plus clairement les risques, tandis que les optimistes les bloquent davantage. La comparaison des perspectives positives et négatives donne l'avantage à une confrontation entre les optimistes aux risques d'un projet et de faire prendre conscience aux pessimistes de ses opportunités. Le gestionnaire de projet devrait chercher un équilibre entre les deux perspectives antagonistes. De cette manière, il peut avoir une influence positive supplémentaire sur le déroulement du projet.
Six conseils pour gérer les pessimistes dans l'équipe
1. Respecter les préoccupations de l'employé, en faisant comprendre comprendre à un membre pessimiste du projet qu'il n'est pas seul à s'inquiéter.
2. poser des questions sur les craintes.
L'employé doit avoir la possibilité d'exprimer ses craintes et sa colère. Le "pessimiste" devrait avoir toute la liberté et le temps de les formuler. Souvent, une "collection de soucis" complète peut être générée de cette manière.
3. formuler clairement l'intention du projet. Les craintes exprimées des membres du projet, facilitent la formulation claire de l'objectif principal du projet. Les éventuelles fausses interprétations de soi (perte d'emploi, gestion excessive par la technologie, etc.) que le salarié associe au sujet peuvent ainsi être éliminées.
4. la question des améliorations.
Impliquer directement le salarié dans le projet peut améliorer son humeur générale. cette implication peut également créer une attitude plus positive envers le projet. Les doutes et une attitude pessimiste proviennent souvent du fait que la personne concernée a l'impression qu'elle ne peut pas agir.
5. conclure des accords.
Les jalons établis offrent à un membre pessimiste du projet une sécurité et un sentiment de contrôle ou de connaissance des processus du projet.
6. aucune demande de créativité.
Avec une attitude de base sceptique, l'appel à la créativité peut rapidement provoquer des exigences excessives et, par conséquent, un blocage du salarié. Il est plus facile de répondre à la question décrite au point 4 concernant l'amélioration ou la simple critique ouverte de certains points du projet pour les forts pessimistes.
Renvoi, conseil
Vous pouvez vous renseigner gratuitement sur les possibilités d'implication des employés dans le cadre d'Industrie 4.0 au centre de compétences Mittelstand 4.0 de Stuttgart.
